Le 15 juillet 2014, nous sommes à Voltatie, dans une petite aire près d'un lac. Le temps c'est couvert mais vu les températures que l'on avait ces jours-ci, cela semble normal que ça pète et que la pluie tombe. Mais c'est presque un soulagement, ça rafraichit l'atmosphère et nous dormirons bien cette nuit.

Notre bivouac pour cette nuit.

 Cette maison nous fait penser aux jeux de constructions en bois que l'on avait quand nous étions petits, c'est marrant. Voici, un  des styles de maisons Finlandaises que l'on retrouve assez souvent autrement elles ressemblent aux maisons Suédoises sauf qu'elles sont de couleurs différentes, on n'en voit des vertes, des jaunes, des bleues, des blanches et des rouges mais toujours en bois.

 Comme toujours Ugo et Jonathan à la pêche, ici la pêche est bonne, ça mord tout le temps, nous sommes obligés de les relâcher.

 Un barbecue improvisé entre deux averses.

En ce moment, nous traversons la Finlande en faisant environ 250 km par jour, car nous devons arriver au port d'Helsinki (la capitale de la Finlande) à la fin de la semaine pour prendre le ferry pour rejoindre Tallinn en Estonie.

Direction, la Finlande, nous sommes contents car nous retrouvons notre monnaie : l'euro, cela nous a manqué plus besoin de réfléchir et de convertir même si cela fait parti du voyage.
Nous retrouvons aussi des enseignes de magasin comme Lidl qui se faisait rare avec un choix plus large d'aliments, ce qui nous manque parfois comme le bon fromage, le saucisson, les saucisses. En Scandinavie, ils mangent que des saucisses Hot-Dog.

Nous arrivons à Rovaniemi, au cercle polaire à Santa Claus au village du Père-Noel, là-bas nous avons eu la possibilité d'avoir un bulletin de franchissement.

Nous n'avons pas vu le Père-Noël à notre grand regret car nous n'avons pas fait attention que nous étions le 14 juillet et même le Père-Noël ne travaille pas.

Nous trouvons pleins de magasins de souvenirs, on serait cru à Noël sans la neige.

 Nous sommes sur la ligne invisible du cercle polaire et fiers d'y être.

 Le Père-Noël et ses deux lutins.

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Il fait très chaud et n'avons pas la possibilité de dormir au village de Santa Claus sauf dans une station service, donc nous décidons de faire 4ou5 kilomètres pour trouver un endroit plus sympathique qui ressemble à notre Lac de Bairon dans les Ardennes.
Au plus grand plaisir de tout le monde, vu la chaleur qu'il faisait. Les enfants ont pu se baigner.
Par contre, le produit moustique fonctionne à son maximum, on est piqué de partout.

 Au port, nous observons une maison sur l'eau, nous sommes heureux car nous n'en avions jamais vu notre vie. C'était marrant, une autre façon de voyager sans que personne vous embête.

Notre bivouac, en plus nous avons l’électricité gratuite, le grand luxe.

Tout le long de la route, nous avons eu la chance d'apercevoir même de suivre des rennes, c'est un joli spectacle naturel. Chez nous, ce sont des sangliers, ici ce sont les rennes. Par contre, nous n'avons pas eu la chance de voir d' ours sauvages.

Un bébé renne en bord de route.

 Un troupeau de rennes, ce jour-là, on aurait dit qu'ils sont sortis rien que pour nous.

Ensuite, nous continuons notre chemin pour trouver un endroit pour dormir ,nous y sommes tellement bien que nous restons 3 jours.

 Encore un endroit rien que pour nous avec tout le confort, table de pique-nique, barbecue, baignade et pêche avec en prime un soleil magnifique qui ne se couche jamais.
Seul bémol, un peu de difficulté pour s'endormir.

 Notre panorama quotidien.

 Avec ses maisons authentiques plongées dans la forêt.

 Nous faisons un barbecue pour manger les poissons pêchés par Jonathan et Ugo.

Même Urban est en mode baba-cool.

Nous arrêtons près de Klimpfjall, plus nous montons et moins nous voyons d'habitations et surtout de ravitaillement en gasoil et en nourriture.
Mais l'avantage c'est que l'on peut se mettre partout où l'on veut donc nous nous trouvons un endroit isolé près d'un lac.

 Ugo tâte l'eau avant la baignade.

 Notre fidèle compagnon se met à l'ombre mais le pauvre se fait manger par les moustique et les taons mais nous ne sommes pas épargnés non plus.

 Ils sont prêts pour se jeter à l'eau, il faut dire qu'on avoisine les 30°degrés.

 Un oiseau se laisse prendre en photo.

 Il doit être heureux tout seul sur son île.

 Nous nous arrêtons sur ce point de vue pour prendre quelques photos.

LA SUEDE DEUXIEME PARTIE

Comparer à la Norvège, la Suède offre un paysage exceptionnel, avec un environnement propre et sain.

 Des cascades, des lacs, des rivières, et des torrents que dire de plus, sue des kilomètre et des kilomètres, nous traversons des paysages magnifiques.
Nous nous arrêtons tout le long de la route pour prendre des photos de panoramas exceptionnels.

 Nous avons oublié de dire que nous sommes dans la période de l'année où le soleil ne se couche pas donc il fait jour 24/24. C'est un peu déboussolant, le sommeil se fait dur mais on ne va pas se plaindre tout de même. Par contre, je n'aimerais pas être à leur place l'hiver où là, le soleil est levé que 2 ou3 heures.

 Nous montons vers le cercle polaire, il fait 30°degrés, nous sommes en short et nous avons les pieds dans la neige, incroyable.

 LA NORVEGE

 Nous sommes à HAMAR, petite ville avec son port, nous nous trouvons en face, sur un parking. Aujourd'hui, le temps n'est pas terrible, il pleut donc nous faisons la journée dans le camping-car. Les enfants jouent aux jeux de sociétés. Jonathan a réussi à nous brancher à l’électricité gratuitement, c'est cool car quand il fait mauvais temps comme ça, le panneau solaire ne charge pas beaucoup et donc moi je profite pour laver un peu de linges.

 Et derrière nous, il y avait un grand lac, Jonathan et Ugo entre deux averses ont réussi à mettre une canne à l'eau.

 Il y avait un peu de brume ce jour-là.

 Nouveau décor, les montagnes enneigées, c'est normal nous montons tout doucement mais le temps est meilleur.

 Notre bivouac ce jour-ci, se trouve au pied des pistes de ski, bien sûr il ne fonctionnait pas juste pour la maintenance mais nous profitons du calme qui s'offre à nous.

 Nous sommes à Oppdal.

 Que demander de plus ?

 C'est un exemple typique des granges de ferme Norvégienne.

 Et ils sèchent le foin sur des fils.

 Des lacs et encore des lacs, je crois que nous n'avons jamais autant vu de lacs l'un derrière l'autre de notre vie, c'est incroyable.

 Des bois des rennes.

 Nous nous sommes arrêtés pour aller voir cette magnifique cascade.

 Des maisons perchées dans la montagne.